On n’améliore que ce que l’on mesure !

On n’améliore que ce que l’on mesure !

Il est des évidences qu’il convient, à notre avis, de répéter régulièrement. Le titre de cet article est l’une d’elle. Comme disait Bernard Grasset, « La solution du bon sens est la dernière à laquelle songent les spécialistes ».

Alors que nous connaissons depuis de longs mois l’une des plus graves crises économiques, si ce n’est la plus grave, à l’échelle planétaire, les entreprises cherchent par tous les moyens à s’améliorer et à accroître leurs performances : il faut réduire les coûts et les budgets, augmenter la qualité des produits et des services délivrés, réduire les délais de mise en service, être plus innovant, mener à leur terme les projets… 

Des dirigeants jusqu’aux opérationnels, toute la ligne hiérarchique est mobilisée pour répondre à l’impératif d’amélioration. Toute la difficulté est que ce message ne reste pas au niveau de l’incantation.

Pour ce faire, il faut inévitablement en passer par une mesure de ce que l’on veut améliorer (entreprise, organisation, projet…). Il convient, pour chaque axe d’amélioration retenu, de fixer un indicateur de mesure, ainsi que les modalités pratiques de la mesure. Ensuite, la mesure de cet indicateur permettra d’évaluer le résultat et/ou le niveau de performance actuel. Enfin, sa mesure régulière permettra d’évaluer la capacité d’évolution et/ou d’amélioration (progrès).

Dans la mesure où des « efforts » seront consentis par un grand nombre d’acteurs, la communication et l’analyse des résultats ne doit pas être oubliée ou minimisée, au même titre que l’accompagnement (recours au coaching si nécessaire).


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